Visiter Lannion à pied : les lieux incontournables

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Partons aujourd’hui à la découverte de Lannion, à pied, sans voiture ! Vous êtes arrivés en train à la gare de Lannion ? Vous ne souhaitez pas utiliser votre véhicule pour visiter Lannion ? Bien que construite sur des colines, la cité lannionnaise se prête bien à la visite promenade. Voici le parcours que nous vous proposons.

À la découverte de Lannion à pied : notre parcours

Pour découvrir au mieux les lieux pittoresques de la ville de Lannion, nous vous proposons un parcours en 11 étapes au départ de la gare. 

Ce parcours arpente les ruelles pour aller vers le stade en eaux vives. Là, au niveau du Quai d’Aiguillon, remontons la rue Emile le Taillandier jusque la place du Centre. Puis, longeons les rues menant à la rue Jean Savidan pour gagner le couvent et la chapelle des Ursulines. Prenons ensuite la direction de la place du Marc’hallac’h (mar-ha-la en phonétique très simplifiée pour les non-bretonnants). Descendons visiter l’église Saint Jean du Baly. Puis dirigeons nous vers le Stanco pour commencer l’ascension des escaliers de Brélévenez et la chapelle du même nom. Redescendons vers les quais pour enchainer par tout ou partie du chemin du halage en longeant l’ancien port. Revenons enfin vers la gare en longeant le léguer de l’autre côté de la rive, rive gauche fleurie.

 

NB : Si ce parcours vous semble trop long, vous pouvez choisir de vous focaliser sur le centre-ville historique en supprimant les étapes du Stanco, de Brélévenez et du Chemin de Halage.

Le Stade en eau vive

Le stade d’eau vive de Lannion est une installation unique en son genre qui a transformé le paysage sportif et urbain de notre ville. Il a été inauguré le 23 octobre 1992 et est le seul stade d’eau vive au monde à fonctionner au rythme des marées.

Le stade a été conçu par Christian Hunaut, un ancien professeur d’électronique passionné de kayak. Hunaut a occupé plusieurs postes de direction dans le monde du kayak avant de devenir adjoint au maire en charge des sports à Lannion en 1989. C’est à ce poste qu’il a utilisé pour réaliser son objectif d’équiper la Bretagne d’un stade d’eau vive.

L’installation est située en plein centre-ville de Lannion, sur l’estuaire du Léguer. Le stade a été construit avec des obstacles mobiles, une innovation à l’époque. Ces obstacles permettent de transformer les parcours et de moduler les difficultés, rendant les 270 mètres de descente accessibles aussi bien aux champions qu’aux kayakistes débutants.

Le fonctionnement du stade est régulé par un automate. À marée montante, le niveau du Léguer augmente et l’eau est stockée. Les vannes sont ouvertes trois heures plus tard, permettant l’utilisation du stade sans besoin de pompes de relevage électrique. Cependant, l’équipement n’est pas accessible en dessous de certains coefficients de marée.

Le 25 mars 2023, la Ville de Lannion a officiellement baptisé le stade d’eau vive : c’est naturellement que le nom de son initiateur a été choisi : Christian Hunaut. Cette reconnaissance est le reflet de l’impact significatif que le stade a eu sur la communauté locale et sur le monde du kayak en général. Depuis son inauguration, le stade a accueilli de nombreuses compétitions et est devenu un lieu d’entraînement pour de nombreux kayakistes de haut niveau.

Le stade d’eau vive de Lannion est une réalisation remarquable qui a non seulement transformé le paysage sportif de la Bretagne, mais a également apporté la fraîcheur de l’eau vive au cœur de la ville de Lannion. Il continue d’être un symbole de l’innovation et de la passion pour le sport en eau vive.

Le Quai d'Aiguillon

Le Quai d’Aiguillon a été nommé ainsi en l’honneur d’Emmanuel-Armand du Plessis-Richelieu, duc d’Aiguillon, qui a été nommé commandant en chef de la Bretagne en 1753. Durant ses nombreux voyages dans la région, il est tombé amoureux de la Bretagne et a décidé de construire un quai à Lannion.

En 1762, le duc d’Aiguillon a commencé la construction du quai, avec l’aide financière du roi Louis XV2. Le quai a été inauguré huit ans plus tard, en 1770. Les travaux ont été dirigés par l’ingénieur Anffray, qui a également conçu d’autres monuments remarquables dans la région (l’église de Langoat, le tribunal de Guingamp, entre autres).

La rue Emile Le Taillandier

La rue Émile Le Taillandier est une rue historique nommée d’après Émile Le Taillandier, une figure notable de la région. Elle est réputée pour son patrimoine architectural et ses bâtiments historiques.

  • Le numéro 7 est une maison remarquable datant de la fin du XVIe siècle. Elle est constituée d’un rez-de-chaussée en granit et de trois étages en encorbellement, typique du pays de Trégor (La Roche Derrien avec notamment sa « maison rouge » Ty Bras Ru, Tréguier, Pontrieux et la maison Eiffel…) et de Guingamp. La façade est ornée de sablières, consoles et poteaux sculptés ou moulurés. Cette maison est ainsi inscrite à l’inventaire des monuments historiques.

  • Le numéro 9 est un immeuble historique qui abritait autrefois la fameuse auberge des 500 couverts. Cet immeuble ajoute à la richesse historique de la rue.

Ces bâtiments témoignent de l’histoire riche de Lannion et contribuent à son patrimoine architectural unique.

La place du Centre (ou place du Général Leclerc)

La place du Centre est officiellement nommée place du Général-Leclerc depuis 1947, mais les lannionais l’appellent toujours ainsi.

La place du Centre est caractérisée par un mélange de styles architecturaux. Les hôtels particuliers et manoirs des XVIIe et XVIIIe siècles côtoient les maisons à encorbellement des XVe et XVIe siècles, avec leurs pans d’ardoises ou pans de bois. Parmi les bâtiments notables, on trouve des maisons emblématiques situées aux numéros 15, 21, 23 et 33 de la place.

La maison située au numéro 15 présente plusieurs caractéristiques de la Renaissance, avec des sculptures autour de la porte, une façade plein sud aux ouvertures généreuses et un escalier en granite rampe sur rampe. Le RDC date de 1612 et les étages de 1642, selon une étude de dendrochronologie.

Les maisons situées aux numéros 21 et 23 sont deux maisons mitoyennes qui ont probablement été construites entre 1610 et 1630. Les façades de ces deux maisons sont totalement revêtues d’ardoise.

La maison située au numéro 33 est une maison à colombages dont la construction remonte au 16e siècle. Elle est partiellement inscrite comme Monument Historique (façades et toitures) par un arrêté du 5 février 1927.

Jusqu’en 1865, la place du Centre n’était pas une place, mais deux rues qui passaient de part et d’autre des halles, la rue Suzaine et la rue Souzaine. Ces rues étaient habitées par la noblesse, des hommes de loi et des marchands de draps et de soie.

Au milieu de ces deux rues se trouvait l’auditoire, un prestigieux bâtiment qui servait de palais de justice. Après 1532, Lannion était une sénéchaussée royale et s’était dotée de ce monument cossu. Cependant, en 1855, le tribunal a déménagé et un nouveau palais de justice a été construit en bordure du Léguer. L’auditoire a été démoli et l’espace a été laissé à la route impériale qui le traverse.

Dans la volonté « d’assainir la ville », les halles et leur magnifique charpente de bois, qui se trouvaient dans le prolongement de cet auditoire, sont également détruites à partir des années 1820. Le marché a été installé, d’abord de manière provisoire, à l’emplacement du bâtiment qui borde la place et qui abritait récemment la banque CMB. Il y est resté jusqu’en 1907.

Rues Geoffroy de Pontblanc, Jean Savidan

La rue Geoffroy de Pontblanc, anciennement appelée rue de Porsmeur, a été renommée en 1894 en hommage à Geoffroy de Pontblanc, un chevalier qui a défendu la ville contre les Anglais en 1346, pendant la guerre de Succession bretonne.

Une croix en granit et une plaque commémorative marquent le lieu où il est tombé. Geoffroy de Pontblanc, un noble chevalier de Plouaret, s’est réveillé au milieu de la nuit pour repousser les Anglais qui pillaient la ville. Malgré le fait qu’il était sans armure et à moitié nu, il a combattu courageusement, repoussant l’ennemi avec son épée puis son couteau après que son épée se soit brisée. Cependant, pris au piège contre le mur d’une maison, il a été blessé lourdement par un archer et est finalement tombé, succombant à ses blessures. Aujourd’hui, sa bravoure et son sacrifice sont commémorés par une plaque, une croix et une rue de Lannion portant son nom.

La rue Geoffroy de Pontblanc est également notable pour ses bâtiments historiques. Par exemple, l’ancien hôtel de la famille de Meur de Kergus (n°5 et 7), datant du XVIe siècle, a conservé sa porte gothique. Les maisons aux n°1 et 3, datant du XVIIe siècle, présentent des bustes sur piédestaux au premier étage, un décor unique à Lannion.

La rue Jean Savidan, anciennement appelée rue des Capucins, a été renommée en 1941 du nom de l’ancien adjoint au maire, Jean Savidan. Cette rue possède de nombreuses maisons historiques. Par exemple, un ancien hôtel particulier (n°5) a été transformé en relais de diligence entre Guingamp et Morlaix. Deux maisons jumelles à pans de bois se trouvaient au n°20, dont une a été détruite.

Le couvent et la chapelle des Ursulines

Le couvent des Ursulines  est un monument historique d’une grande importance culturelle et religieuse. Au XVIIème siècle, Lannion était située au cœur du diocèse de Tréguier et bénéficiait d’un port actif, source d’enrichissement pour la ville.

En 1651, le projet d’un établissement d’Ursulines a été envisagé à Lannion. Huit religieuses Ursulines, dont la fille de M. Calloët de Keranvezec, sont arrivées à Lannion le 13 janvier 1659. La construction des différents bâtiments du couvent a commencé en 1670, après que le monastère a été placé sous la protection de la Sainte Famille.

Cependant, suite au décret du 4 août 1792, les Ursulines de Lannion ont été expulsées de leur monastère et ont dû abandonner leurs bâtiments. La chapelle des Ursulines fut alors réquisitionnée : le chœur a servi de tribunal pendant la Révolution et la nef a été utilisée comme entrepôt à fourrage.

Récemment, le bâtiment a été restauré. Aujourd’hui, la chapelle sert de cadre pour des expositions organisées par la ville. En 1971, un décret a inscrit l’ensemble des façades et toitures à l’inventaire des monuments historiques.

Le couvent des Ursulines est situé à environ 300 mètres à l’est de la place du Centre, en bordure de la rue Jean Savidan, à Lannion. Il continue de jouer un rôle important dans la vie culturelle de la ville. La chapelle offre un très beau cadre pour des expositions organisées par la ville, permettant aux visiteurs de découvrir les travaux d’artistes locaux tout en admirant l’équilibre architectural de ce monument historique. C’est un véritable atout pour la ville de Lannion.

La place du Marc'hallac'h

La place du Marc’hallac’h, perchée sur les hauteurs de la ville, est un lieu emblématique lannionais chargé d’histoire.

Son nom, attesté depuis 1499, provient du breton « marc’hadlec’h », signifiant « le lieu du marché ». Autrefois, c’était un vaste espace en terre battue où se tenait un marché aux chevaux au Moyen Âge, attirant des gens de toute la région du Trégor.

Avec le temps, les chevaux ont disparu, remplacés par des animaux de ferme jusqu’aux années 60. Les jeudis matins étaient particulièrement animés, avec parfois des petits cochons qui s’échappaient dans la foule. Aujourd’hui, bien que l’espace soit occupé par un parking, le quartier reste vivant avec des commerces qui ouvrent tôt et ferment tard.

La place du Marc’hallac’h a également été le théâtre d’événements sombres. Une guillotine y a été érigée en 1894 et est restée en place jusqu’à la fin de la Révolution. Bien qu’elle n’ait pas été beaucoup utilisée, une dizaine d’hommes y ont perdu la tête.

À proximité, on trouve le Manoir de Crec’h Ugien, une demeure de style Louis XV qui a accueilli de nombreuses personnalités, dont Jacques Thomé de Kéridec, un banquier d’origine irlandaise et l’un des personnages les plus influents de la ville au XVIIe siècle.

Malgré les transformations au fil du temps, la place du Marc’hallac’h a conservé sa forme originale depuis le cadastre de 1826. C’est un lieu qui témoigne de l’évolution de la ville à travers les siècles, un mélange d’histoire, de culture et de vie quotidienne. C’est un lieu qui continue de vivre et de raconter son histoire.

L' église Saint Jean du Baly

L’église Saint-Jean du Baly a été édifiée entre 1511 et 1548, remplaçant la chapelle de l’ancien château fort de Lannion. À l’origine, elle était dédiée à Notre-Dame. En 1839, elle a été placée sous le vocable de Saint-Jean du Baly, en référence à la promenade du Baly aménagée à l’emplacement des anciennes murailles de la ville.

C’est une ancienne église castrale à doubles collatéraux. Sa construction a commencé au XIVème siècle et a subi plusieurs modifications aux XVe et XVIe siècles. Une rénovation au XIXème siècle a révélé une voûte à carène renversée, intacte, datant du XVIème siècle. Cette voûte est ornée de symboles maritimes et de queues d’hermines peintes, symbole de l’indépendance de la Bretagne.

L’église abrite un riche patrimoine artistique. Quatre des cinq statues de la Sainte Famille, qui étaient cachées pendant la Révolution française et provenaient de la chapelle des Ursulines, ont été installées dans l’église vers 1825. L’église possède également une belle série de vitraux Art Déco réalisés par Henri Marcel Magne, qui a également réalisé les vitraux de la basilique Montmartre à Paris. Elle dispose de nombreux autels dédiés à divers saints et figures religieuses.

À l’extérieur de l’église, on peut voir un imposant calvaire datant de 1867 et réalisé par Yves Hernot. Ce calvaire a remporté le premier prix de la sculpture à l’Exposition Universelle de 1867 à Paris. Il est composé d’une grande croix en kersantite et d’un fût monolithe, tous deux tirés d’un seul bloc de roche.

Elle est ouverte tous les jours de 9h à 18h30 (fermeture à 18h en hiver).

Le Stanco

Le Stanco est un parc dont le nom signifie « étangs » en breton. Le parc du Stanco, conçu en 1983, est une vallée de 15 hectares offrant un cadre naturel pour les balades familiales et est également un terrain d’entraînement pour les vététistes, les coureurs et les amateurs de cross.

Il offre une boucle de promenade semi-urbaine d’environ 4 km, qui peut être prolongée par plusieurs options, comme monter les 142 marches qui mènent à l’église de Brélévenez, grimper sur les hauteurs du parc ou poursuivre sur l’itinéraire Emile-Orain, un morceau du GR34 aménagé sur l’ancienne voie de chemin de fer.

Les escaliers de Brelevenez et son église

L’Escalier de Brélévenez et son église, la Trinité de Brélévenez, sont des symboles emblématiques de Lannion. Ces monuments historiques sont situés sur la colline du Crec’h Tanet, dominant la ville.

L’église de la Trinité de Brélévenez, initialement dédiée à Notre-Dame-des-Neiges puis à la Sainte-Trinité, est un édifice religieux majeur du Trégor. Elle est connue pour son escalier imposant de 142 marches, bordé de charmantes petites maisons en granit. L’église et ses abords immédiats ainsi que les escaliers ont été relativement bien préservés grâce à leur protection en tant que monument historique, site classé et site inscrit.

Le nom “Brélévenez” est composé des deux mots celtiques “bre levenez”, qui signifient littéralement “mont joie” ou “montagne de la joie”. Certains pensent que les chevaliers-moines templiers sont à l’origine de cet édifice. Cependant, d’autres pensent que les escaliers sont appelés les escaliers de la Trinité et attribuent le site aux Trinitaires de l’ordre de Saint-Jean-de-Matha (Mathurin). Ce qui est certain, c’est que les fondations de l’édifice auraient été posées autour de l’an 1200, mais par qui ? Le mystère persiste.

L’église est ouverte tous les jours de 9h à 19h du 1er juillet au 31 août, et de 9h à 18h le reste de l’année. Plusieurs visites guidées sont proposées pendant l’été. L’intérieur de l’église abrite des pièces des XVe et XVIIe siècles, ce qui explique pourquoi le site est classé monument historique depuis le 25 août 1909.

En haut de l’escalier, vous entrez dans l’enclos paroissial. Autour de l’église se trouvent les pierres tombales de quelques paroissiens, dont celle de Jean Salaun, qui a été maire de la paroisse de Brélévenez pendant 40 ans, comme l’indique la stèle.

Brélévenez, connu en breton sous le nom de Berlevenez, était autrefois une commune indépendante. Depuis 1961, elle est devenue un quartier de Lannion, dans le Trégor. Les deux communes étaient autrefois séparées par le ruisseau Stanco. L’église emblématique de Brélévenez, accessible par un escalier de 142 marches, est attribuée aux Templiers et sert également de logo à la ville.

Le Chemin de Halage

Le chemin de halage à Lannion est un sentier historique et pittoresque qui s’étend sur environ 5 km de la Corderie à Porzh Nevez, le long de la rive droite du Léguer. Ce chemin, strictement réservé aux piétons, est un véritable havre de paix et de tranquillité, idéal pour la randonnée.

Historiquement, le port de Lannion a pris son aspect actuel au milieu du XVIIIème siècle, en raison de l’essor du commerce maritime et du cabotage international. En 1825, les maîtres de barque ont demandé la construction d’un chemin de halage pour améliorer et faciliter les conditions de navigation, souvent difficiles. Les travaux ont commencé en 1825 et ont duré jusqu’en 1875. Le chemin a été prolongé quelques décennies plus tard.

Le chemin de halage commence au bout du quai de la Corderie. Au départ de ce chemin, face à la rivière, une cabane en bois ouverte, équipée d’un long banc en bois, sert de lieu de repos et d’abri temporaire. Dans les années 1960 environ, un quai bétonné sur une centaine de mètres, est équipé d’anneaux métalliques qui vont permettre l’amarrage des bateaux.

Le long du chemin, on peut observer diverses structures notables, comme la “Villa René”, une maison de villégiature privée avec un toit incurvé unique. Le chemin longe également des propriétés privées boisées et des zones où des canards ont élu domicile.

Le seul ouvrage d’art sur ce chemin est le petit pont de l’anse de Keraromp, qui permet de traverser un ruisseau qui alimentait autrefois un moulin. À proximité du pont se trouve la propriété de Forn ar Ra, avec son kiosque dominant la rivière.

Aujourd’hui, le chemin de halage sert également de sentier de service pour l’entretien de la voie navigable. Sans se substituer aux fonctions écologiques d’une vraie berge, cet aménagement joue encore un rôle certain de corridor biologique. Le chemin est balisé en rouge et blanc, facilitant ainsi la navigation des randonneurs.

Où laisser sa voiture à Lannion ? Parkings payants et gratuits

Depuis 2022, la ville de Lannion connait plusieurs phases de travaux urbains qui modifient en profondeur le plan de circulation et les stationnements. 

Par conséquent, les indications données ici sont susceptibles d’être erronnées en fonction des travaux en cours. Nous nous en excusons. Pour notre défense, c’est parfois difficile à suivre lorsque les plans de circulation changent chaque semaine. 

Voici quelques options de stationnement :

Forlac’h : 100 places
Ursulines : 270 places
Kermaria : 228 places
Viveiro : 50 places
Lycée : 86 places
Rol Tanguy-Rosalic : 87 places
Parc Sainte-Anne : 48 places
Abattoir : 40 places
Stanco : 72 places
Hôpital : 300 places
Nod Huel : 170 places
Min Rann : 110 places
Certaines zones sont limitées en durée pour favoriser la rotation des stationnements. Ces zones bleues peuvent être limitées à 30 minutes, 1 heure ou 2 heures selon les zones1. Il est donc nécessaire d’utiliser un disque bleu homologué en indiquant son heure d’arrivée.

 

Une fois cette visite de Lannion, vous pouvez enchaîner avec des visites des Petites Cités de Caractère (La Roche-Derrien, Tréguier ou Pontrieux) ou des espaces naturels du Trégor et des plages de la Côte de Granit Rose.

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